Thèmes originaux de la psychologie
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Quand les incompétents surestiment leurs compétences...

Les personnes particulièrement incompétentes ont tendance à se surestimer car elles n'ont pas les connaissances requises pour évaluer correctement leurs propres performances. Ce phénomène est appelé "effet Dunning-Kruger". Heureusement, il est possible d'y remédier, notamment en améliorant ses connaissances...
Quand les livres aident à guérir...

Une nouvelle forme littéraire a vu le jour il y a quelques années seulement. Il s'agit d'ouvrages thérapeutiques qui mêlent fiction et informations de santé. Aussi, cette bibliothérapie s'avère plutôt efficace pour de nombreux troubles tels que les TOC, la dépression, l'anxiété, les dépendances, les troubles sexuels, etc...
Quand les parents se séparent...

Les séparations sont fréquentes à notre époque et généralement, les enfants en pâtissent. En effet, ils ont tendance à présenter des difficultés de concentration, des accès de colère, de l'anxiété... Mais c'est sans compter sur leur remarquable capacité d'adaptation qui leur permet de surmonter ce bouleversement, notamment pour ceux dont les parents continuent de communiquer et de coopérer...
Quand les superstitions nous rendent plus performants...

Les superstitions sont très répandues dans la population générale, et encore davantage chez les personnes souvent confrontées à des situations de pression intense comme les sportifs de haut niveau, les musiciens célèbres, etc. Sans doute parce que ces comportements irrationnels rassurent, renforcent le sentiment d'efficacité et améliorent les performances physiques et cognitives...
Quand nos expressions faciales impactent notre humeur...

Pour exprimer nos émotions, nous contractons certains muscles de notre visage. Mais l'inverse est vrai aussi : nous pouvons induire des émotions grâce à des mimiques de joie, de tristesse, de colère, etc. De fait, il est possible de modifier notre humeur en contrôlant nos expressions faciales. Cela peut contribuer à lutter contre la dépression...
Quand notre cerveau devient seul responsable de nos actes...

"Ce n'est pas moi, c'est mon cerveau!" Voilà ce que tendent à penser les individus après avoir lu des articles relatifs fonctionnement du cerveau. En effet, étant donné que nos actes découlent de réactions biochimiques sur lesquelles nous n'avons aucune prise, pourquoi serions-nous responsables de nos actes? En fait, il s'agit là d'une mauvaise interprétation des résultats scientifiques...
Quand notre cerveau profite du silence...

C'est bien connu, le bruit est nocif pour la santé. Pourtant, nous avons tendance à nous y habituer. Ainsi, c'est seulement lorsque le calme revient que nous prenons conscience du bruit qui nous assommait. Ces moments de silence s'avèrent particulièrement bénéfiques pour la régénérescence de notre cerveau et pour notre bien-être en général...
Quand notre esprit vagabonde...

Laisser son esprit vagabonder est de plus en plus considéré comme un manque d'attention qu'il faut à tout prix combler par des pratiques méditatives et de pleine conscience. Pourtant, le vagabondage mental joue un rôle fondamental dans la structuration de nos pensées, de nos souvenirs, dans la créativité et dans nos orientations de vie...
Quand notre volonté est victime d'erreurs ironiques...

Plus nous essayons d'éviter certaines pensées, plus nous y pensons. C'est le cas, par exemple, lorsque nous souhaitons trouver le sommeil rapidement, mais que cette pensée nous empêche justement de nous endormir. Aussi, ces processus ironiques de contrôle mental surviennent surtout lorsque nous sommes distraits, stressés, pressés ou surmenés...
Quand nous ne prêtons suffisamment attention à notre environnement...

Il arrive parfois que nous ne prêtons pas suffisamment attention à notre environnement. Aussi, cette cécité d'inattention peut conduire à des phénomènes surprenants, comme le fait de ne pas voir un gorille traverser un terrain de basket pendant un match! Les scientifiques ont donc tenté d'expliquer ce phénomène...